lundi 30 décembre 2019

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dimanche 29 décembre 2019


Est-ce une rupture réelle avec les pratiques du passé

Je pense que la configuration politique nationale est entrain de changer. Le fait que M.Tebboune ait choisi une personnalité en dehors du clivage partisan classique représente une prise de conscience que la configuration politique actuelle est en faillite, et ipso-facto ne peut générer des éléments qui peuvent engager la rupture avec le passé. Il faut souligner que M.Tebboune fut mis a l'écart à peine moins de trois mois après avoir été nommé premier ministre après qu'il a voulu faire le ménage a propos de la mainmise des oligarches sur les deniers publics sans que les partis politiques, alliance et opposition confondus, n'aient eu le courage de prendre position,- de peur de perdre leur pitance, voir perdre les grâces du gérant du palais, un certain Said. Le moment est propice pour lui à condition qu'il s'entoure de gens honnêtes et pragmatiques qui lui transmettent les rapports justes de la situation sans complaisance. Le problème majeur du pays fut, à mon sens, l'information à savoir que les ministres, les chefs de cabinet, les chargés de projets, les présidents de commissions au niveau des ministères maquillaient les rapports qu'ils transmettaient aux différents chefs des différentes tutelles,- ministères. Pour satisfaire l’ego du Rais, on y allait avec la logique du " tout va bien", alors que la réalité du citoyen Lambda était tout autre. Il y a aussi l'intégralité des inspecteurs a différents niveaux qui a toujours fait défaut. Pour avoir l'heure juste, il est impératif d'avoir des données justes. Le plus gros problème sera l'assainissement des finances publiques. Les entreprises publiques, par exemple, ont toujours été sous perfusion : Les banques publiques recevaient des ordres et directives de la haute sphère du pouvoir exécutif pour renflouer leurs caisses sans avoir a suivre les procédures de garantie ou les échéanciers de remboursement. L'autre obstacle, le plus gros depuis l'indépendance, est sans conteste, que le pays a voulu vivre au dessus de ses moyens : On a opté pour le social, ce qui est bien, mais de façon anarchique, ce qui a vu des milliards de $ en transfert sociaux aller vers des gens qui n'ont pas besoin d'aide. Il y a aussi les recettes fiscales hors hydrocarbures dont on arrive pas a récupérer a cause du clientélisme et pots de vin. Le secteur industriel privé doit être encouragé a travers les investisseurs et opérateurs honnêtes qui peuvent apporter un plus sur le plan de l'intégration au niveau du marché du travail, ce qui va baisser le taux du chômage, booster l'apport au PIB, et surtout alléger le fardeau du secteur publique qui reste le plus important employeur. Le problème c'est que cet gros employeur est dans les services, fonction publique, et même pas dans les secteurs économiques! Il y a aussi la représentation du peuple : Il sait et tous les Algériens savent que l'assemblée Populaire Nationale est loin d'être représentative du peuple, sans parler de leurs capacités pour ce rôle de députés, pour la majorité a quelques exceptions près, considérant les méthodes d'élections et d'établissement des listes électorales qui furent en vigueur durant des années depuis l'indépendance, et qui se sont aggravées durant les vingt dernières années en particulier. Pour avoir de la légitimité pour sa feuille de route, on a besoin de députés qui sont capables, tel Monsieur Saadaoui le député de Naâma, et qui soient intègres. Il y a aussi les administrés qui doivent changer de façon de penser et d'agir : Le peuple doit savoir qu'il ne doit pas attendre que l'or lui tombe du ciel: Il faut que les mentalités changent pour arriver a un standard de vie convenable. Chacun doit commencer à penser en terme de productivité dans ses tâches quotidiennes, et se délaisser de cette mentalité du bien commun,- " Drahem el Ba3lek". On doit arrêter de penser que tout doit être gratuit car en réalité chaque service a un coût, et c'est les finances publiques qui les assument. On doit changer nôtre rapport avec le pays au quotidien dans nôtre façon d'agir au quotidien, la façon d'éduquer nos enfants, nôtre rapport avec le civisme et la civilité. Il y a tant a développer sur ce grand chantier. Inchaa Allah de bons augures.

samedi 28 décembre 2019

Monsieur Tebboune nomme un universitaire au poste de Premier Ministre


La nomination du premier ministre, Monsieur Djerrad, par le président Tebboune est le début d’une nouvelle étape pour l’Algérie. Cette étape va s’avérer cruciale au vu des défis à tous les niveaux dont le nouveau premier ministre aura à relever. Cette nouvelle phase sera d’autant plus critique considérant les différents et nombreux chantiers sur le plan politique, structurel, et organisationnel dont il aura la charge.
Le nouveau locataire du Palais du Gouvernement sera confronté a une situation économique délicate, - héritage de la gestion catastrophique de l’ère Bouteflika. Nul doute que son curriculum vitae reflète des capacités sans contexte, mais son problème majeur sera indéniablement comment aller vers une feuille de route, qui vraisemblablement requiert des sacrifices si l’on veuille aller vers une réforme réelle et en profondeur de la situation économique et financière du pays dont les causes remontent à l’indépendance, et convaincre le peuple qui n’est pas prêt a faire des sacrifices.
Le problème majeur de l’Algérie, sans rentre dans les détails, on va essaye de publier prochainement des chiffres de différentes sources comme le FMI, le Ministère des Finances, le Ministère de l’Économie, etc, reste que le pays depuis l’indépendance a voulu vivre au-dessus des ses moyens réels.
D’après le Fond Monétaire International, l’incertitude politique devrait entraîner un ralentissement du secteur hors hydrocarbures en 2019. Des dirigeants d’entreprises de divers secteurs ont été arrêtés dans le cadre d’enquêtes sur des affaires de corruption, ce qui a eu pour effet de perturber l’économie en raison de changements soudains dans la direction et la supervision de ces entreprises, ainsi que de l’incertitude planant sur les investissements.
Sur le plan extérieur, le déficit du compte courant devrait se creuser pour atteindre 8,1 % du PIB, principalement en raison d’un déficit commercial nettement plus important. La découverte récente d’un nouveau champ gazier laisse entrevoir un rebond de la production et des exportations de gaz, mais uniquement à moyen terme, et si et seulement si le cadre d’investissement dans les hydrocarbures s’y prête.
Cette bride de vecteurs qui vont planer sur les échéances a court et moyens terme, vont être déterminant dans l’entame de cette nouvelle phase de l’Algérie post Bouteflika.
Une chose est certaine, peu importe le nom et les qualifications de la nouvelle composante du gouvernement, ça va de soi si toutes les composantes de la société ne s’alignent pas et ne s’engagent pas dans une dynamique d’ajustement et de changement, le pays sera toujours au même point structurel, et dans une crise sans précédent sur le plan économique ce qui mènera vers une situation sociale et politique difficile, - ce que personne ne souhaite.
Une conclusion sur le plan politique s’impose cependant : Il est évident que le fait que le nouveau président ait fait appel a un académique pour prendre en charge le gouvernement, est un signe clair que le modèle politique classique est dépassé. Les partis politiques semblent mis à l’écart par le nouveau président ce qui augure d’une nouvelle configuration politique nationale. Il semble que le nouveau président ait apprit la leçon, et ne va pas mettre sa confiance dans les partis politiques dont la quasi-totalité furent responsables, sinon partie prenante dans le chaos politique et surtout économique du pays.
Faire appel a la matière grise est déjà de bon augure pour l’avenir.

jeudi 26 décembre 2019


Nul ne peut lui enlever son engagement des années durant contre la mafia qui fit main basse sur le pays. Nul ne peut occulter le fait qu’il fut le premier à dénoncer les anciens de l’armée Française et leurs méfaits depuis l’indépendance du pays a une époque où peu de voix pouvaient se faire entendre de peur d’être poursuivies ou éliminées. Nul ne peut lui enlever son éloquence, niveau académique et intellectuel, et la pertinence de ses interventions.   
Pour toutes ces raisons que, personnellement, je n’arrive pas à comprendre comment une personnalité de ce calibre peut se laisser aller à des écarts de ce type. Je peux aisément comprendre qu’il soit virulent et acerbe envers le système et ceux qui le composent, mais notre religion, nos traditions, nos us et coutumes nous imposent une certaine retenue quand une personne hormis ce qu’elle a pu faire de son vivant, est rappelée par le créateur. La personne en question aura. Désormais, à répondre devant son créateur, et face a la justice divine.  
Pour ce qui est du sous-entendu de sacrifice qu’il a fait en 1995 en quittant ses fonctions de diplomate, il y a toujours l’autre face de la vérité, ou une deuxième face d’une même pièce. Je ne fais aucune allusion à son intégrité, mais je me pose des questions puisque vous vous engagez dans cette voie.
La première question est la suivante : pourquoi un diplomate de carrière qui touche 12000 US $ par mois, pour rappel le concerné l’a déclaré à maintes reprises sur les plateaux de télévisions, tout en sachant que ses dépenses sont à la charge de l’état durant son mandat, décide de quitter son travail, ruiner une carrière prometteuse pour vivre comme un refugié? Est-ce-que c’est plus dû au fait qu’il savait qu’on allait le rappeler selon l’usage dans ce corps à savoir après une certaine période en poste, les diplomates rentrent au pays pour quelques années avant d’être mutés de nouveau?
Il faut remettre les faits dans leur contexte : on est en 1995, la situation sécuritaire commençait à s’empirer, et vraisemblablement il savait qu’il allait être rappelé, est-ce qu’il n’a pas saisi l’occasion au bon moment pour trouver refuge en Europe plutôt que de rentrer, alors qu’on essaye de nous faire croire qu’il a quitté le ‘’système’’ par conscience?
On nous apprend qu’il a travaillé dans une boulangerie, mais ce qu’on n’a pas mentionné reste est-ce-que cette dernière était sa propre affaire ou il fut un simple commis?
Est-ce-que sa famille a fait les frais de sa défection? Sans aucun doute, connaissant la nature et les méthodes du système et de ses sbires.
Ce que j’essaye de dire est simple à comprendre : chacun a sa propre vérité et sa propre vision des choses. Comme je suis d’avis qu’on arrête de glorifier feu Gaid Salah, il faut arrêter de nous bourrer le crane que Monsieur Zitout est un ange immaculé!
Quand une personnalité, comme c’est le cas pour Monsieur Zitout, est aussi médiatisée avec des auditeurs par centaines de milliers dont certains lui vouent une loyauté, et ont une confiance en sa personne, il faut être très vigilent à ce que l’on dit et surtout savoir se retenir sur certains sujets. Aller avec des propos durs envers un mort fut une gaffe de la part d’un homme aussi intelligeant que lui.

mercredi 25 décembre 2019



Technologie- Communication : G 5:

Une carte météorologique

 fréquences que transmettent les antennes de certaines compagnies de téléphonie cellulaire connectées à la 5 G sont très proches de celles utilisées par les satellites dont se servent les météorologues, ce qui pourrait créer d’importantes interférences


PHOTO : GETTY IMAGES/ISTOCKPHOTO / PETROVICH9
Radio-Canada
Si la 5 G promet de nous offrir une vitesse de transmission de données 10 fois supérieure à la 4 G et de propulser l’Internet des objets, cette nouvelle génération de réseaux de communications mobiles pourrait aussi créer des interférences avec les satellites de prévision météorologique.

Plusieurs membres du milieu météorologique, dont l'Organisation météorologique mondiale, mettent en garde contre ce risque depuis plusieurs mois. En mai, le directeur de l’Agence américaine d'observation océanique et atmosphérique (NOAA), Neil Jacobs, soutenait même que cela pourrait nuire au degré de précision des prévisions météorologiques, qui pourrait revenir à celui des années 1980.
Ainsi, certaines fréquences que transmettent les antennes de téléphonie cellulaire connectées à la 5 G sont très proches de celles utilisées par les satellites dont se servent les météorologues, ce qui pourrait créer d’importantes interférences.
Les près de 800 satellites d’observation du climat qui orbitent autour de la Terre utilisent une bande de fréquences se situant de 23,6 à 24 GHz, tandis que le réseau 5 G se sert d’une bande de fréquences allant de 24 à 27,5 GHz.
Nous sommes très préoccupés par l’interférence avec les prévisions et les avertissements météorologiques, a dit le directeur des prévisions météorologiques d’AccuWeather, Dan DePodwin, au site web d'information BuzzFeed News. La 5 G pourrait perturber des avertissements de chute de neige sévère, de tempête, d’ouragan, de tornade et plus.

Un non-sens, selon les services télécoms

La Global System for Mobile Association (GSMA), qui représente près de 800 prestataires de services de télécommunications et entreprises de téléphonie mobile partout dans le monde, a déclaré à la chaîne de télévision française LCI : Personne ne va interférer avec les satellites météorologiques. Les services météo existants seront sauvegardés sans entraver le déploiement de la 5 G, en adoptant des approches raisonnables d'atténuation des interférences.
N’empêche que Renée Leduc, une ancienne cadre de la NOAA, a dit à BuzzFeed News que ces mesures d’atténuation seraient insuffisantes.
La 5 G devrait commencer à être déployée au Canada au courant de l’année 2020.




mardi 24 décembre 2019


 J’avais un profond respect pour ta personne, mais en entendant des inepties concernant un homme que le Créateur vient de rappeler a lui, je ne puis te dire qu’une chose : soit maudit de ton vivant, mais je prierai pour le salut de ton âme le jour ou ton heure arrivera, si je serai toujours de ce monde !
Son intervention en date d’aujourd’hui durant laquelle il revient sur la mort du général Ahmed Gaid Salah le déshonore au plus haut point. Je n’aurais jamais pensé entendre des propos pleins de rancœur au point de lui enlever une prière pour le repos de son âme, - peu importe ce que l’homme a pu faire de son vivant. Les gens oublient qu’on est de simples mortels appelés un jour ou l’autre a rejoindre notre créateur, et que chaque simple mortel aura a répondre de ses actes devant le créateur.  
Je n’ai jamais imaginé que cet homme pouvait avoir tant de mal et de rancœur dans son cœur !
A chaque fois que j’entend des gens d’un certain niveau académique et intellectuel proférer des obscénités de la sorte, la seule envie qui me vient est de vomir. Je peux comprendre si ces propos émanaient de monsieur tout le monde, mais des gens d’un certain niveau qui sont censés être l’élite de ce pays, c’est tellement désolant.
Pourquoi les Algériens, en général, ont toute cette haine en eux ? Pourquoi sommes-nous devenus si intolérants l’un envers l’autre jusqu’à perdre ce qui nous différencie des autres à savoir la miséricorde envers les vivants, et surtout envers les morts !
Qu’est-qui s’est passé pour que l’Algérien ait atteint un tel niveau de bassesse jusqu’à perdre toute sensibilité ce qui est le propre de l’être humain !  
Je n’ai jamais été un fervent supporteur de Gaid Salah. Je fus acerbe quant a certaines de ses positions, mais l’homme n’est plus. Désormais, il fera face à son créateur, et seul lui connait les intentions et les actes de chaque mortel. Enlever une prière a son prochain pour son passage vers l’au-delà est tellement inhumain !  
Tout le monde se justifie par des versets du livre sacré pour tout ce qui arrange leurs petites mesquineries et affaires, mais quant il s’agit de pardon et miséricorde envers les vivants et surtout envers les morts, on devient inculte voire amnésique !
Drôle d’époque pour un si beau pays!




lundi 23 décembre 2019

L’image contient peut-être : une personne ou plus, voiture et plein air, texte qui dit ’Tu as bu? Choisis bien celui qui va te ramener chez toi.’


Rien a rajouter: Le message est limpide!

Bonne fête a Toutes et a Tous !


Le Général Major Ahmed Gaid Salah n’est plus!

Que le Seigneur dans sa miséricorde apporte la paix a son âme…
J’ai lu des commentaires de certains Algériens dont la politique les a, apparemment, aveuglé. Je fus déçu de lire certains commentaires à travers lesquels ils souhaitaient qu’il « aille en enfer », d’autres commentaires qui font un sarcasme a deux sous, voire des commentaires d’incultes qui lui collent les massacres qui datent de la décennie noire, ce qui met à nu le vrai problème de certains Algériens : l’ignorance !
L’homme, avant le Général, vient d’être rappelé par son créateur alors à peine deux jours il respirait ! Ne devrions-nous pas prendre une minute pour méditer à cet événement de la vie ?
Peu importe ce qu’il a pu faire de son vivant, nous devons prier pour le salut de son âme, peut-être qu’on aura quelqu'un pour faire autant quand notre heure viendra ! Le reste c’est désormais entre lui et son créateur !
Je n’ai jamais été un supporteur de l’homme, mais force est de constater que son destin fut réglé comme une montre Suisse. Les gens qui ont découvert le nationalisme comme moyen de se mettre sous les projecteurs, les expatriés qui appellent au chaos tout en restant a distance, les opportunistes de tous bords, qu’avez- vous fait pour la patrie ?
Que l’on aime l’homme ou que l’on le déteste, on ne peut lui enlever son parcours comme soldat, et comme l’homme, peut importe ses motivations, qui a accompagné le mouvement du 22 février 2019 sans quoi ce dernier aurait connu le même sort que celui du printemps 2001 et d’octobre 1988 !
Alors revenons à la raison, et ayons l’humilité devant cet événement grandiose. A défaut de prier pour le repos éternel de son âme, gardons nos commentaires pour soi même !
Qu’il repose en paix!

dimanche 22 décembre 2019


Politique québécoise : les 12 événements les plus marquants de l'année 2019
CAROLINE PLANTE
La Presse Canadienne




QUÉBEC — Le gouvernement de la Coalition avenir Québec (CAQ) a été très actif en 2019 en adoptant cinq projets de loi majeurs qui ont changé, pour le meilleur ou pour le pire, le visage du Québec. Cannabis, laïcité, taxis, maternelles 4 ans en passant par l'immigration, la CAQ de François Legault, qui a accueilli en décembre une 76e députée dans ses rangs, a dû également composer avec la réélection cet automne du gouvernement fédéral libéral de Justin Trudeau. Survol de l'année en 12 moments marquants.
Janvier
Première visite officielle de M. Legault en France : la relation France-Québec prend un accent plus économique que politique. Le premier ministre veut doubler la valeur des exportations vers l'Hexagone, tout en faisant de la France un tremplin vers d'autres marchés européens. Sa ministre des Relations internationales, Nadine Girault, confirmera plus tard dans sa nouvelle politique internationale sa détermination à donner la priorité absolue à l'économie dans les relations du Québec avec l'étranger.
Février
L'étude du projet de loi rehaussant l'âge légal à 21 ans pour acheter et consommer du cannabis ne se fait pas sans heurts; le ministre délégué à la Santé et aux Services sociaux, Lionel Carmant, doit se défendre d'envoyer les jeunes dans les bras du crime organisé. Le ministre peine également à expliquer comment il fera appliquer l'interdiction de consommer sur la voie publique. Au final, la CAQ utilise sa majorité pour faire adopter le projet de loi. Le Québec devient ainsi la province la plus restrictive en matière de cannabis.
Mars
Le 20 mars, le ministre des Transports, François Bonnardel, soulève l'ire des chauffeurs de taxi en déposant un projet de loi qui dérèglemente l'industrie du transport de personnes. Il annonce du même souffle qu'il indemnisera les détenteurs de permis de taxi dont la valeur a chuté depuis l'arrivée d'Uber et d'autres applications technologiques. De nombreuses manifestations s'organisent à Québec et à Montréal pour décrier ce projet de loi, qui sera finalement adopté quelques mois plus tard dans la tourmente.
Avril
Les inondations touchent 250 municipalités et forcent l'évacuation de plus de 10 000 personnes. Si la ministre de la Sécurité publique, Geneviève Guilbault, vante un programme d'aide financière simplifié, plusieurs sinistrés dénoncent les délais. Inondés à cause de la rupture d'une digue, les résidants de Sainte-Marthe-sur-le-Lac sont particulièrement affectés. Le gouvernement redessine la carte des zones inondables, mais accorde un statut particulier à Sainte-Marthe-sur-le-Lac pour favoriser la réintégration des citoyens, qui peuvent reconstruire leurs maisons.
Mai
Accusée de n'avoir aucun plan en environnement, la CAQ tient un conseil général spécial à Montréal, au terme duquel M. Legault annonce vouloir électrifier transports, bâtiments et entreprises afin de réduire de 40 % la consommation de pétrole au Québec d'ici 2030. Le metteur en scène et écologiste Dominic Champagne participe à cet événement, ayant pris sa carte de membre de la CAQ en signe de bonne foi. Plus tard, il qualifie le parti de climatosceptique, scandalisé par son inaction après une année au pouvoir.
Juin
Les projets de loi sur la laïcité de l'État et la réforme en immigration sont adoptés sous bâillon, le gouvernement caquiste invoquant «l'urgence d'agir» dans ces deux dossiers. Il sème l'émoi en interdisant le port de signes religieux aux employés de l'État en position d'autorité, dont les enseignants. Il change le processus de sélection des immigrants pour mieux répondre aux besoins de main-d’oeuvre. Cela inclut l'élimination de 18 000 dossiers de candidature déposés sous l'ancien système, basé sur le principe du premier arrivé premier servi.
Juillet
François Legault est au coeur des échanges lors du Conseil de la fédération, à Saskatoon. La loi sur la laïcité lui vaut une volée de bois vert du premier ministre du Manitoba, Brian Pallister, qui y voit une «dangereuse» discrimination. M. Legault répète qu'il n'y a pas «d'acceptabilité sociale» pour un oléoduc au Québec et essuie une deuxième rebuffade de l'Ontario lorsqu'il propose de lui vendre de l'hydroélectricité. Au chapitre de l'immigration, il prétend avoir convaincu ses homologues de la nécessité d'accueillir plus d'immigrants économiques et moins de réfugiés.
Août
Une taxe à imposer aux géants du web fait consensus parmi la trentaine d'intervenants à la commission parlementaire qui se penche sur l'avenir des médias. Experts, professeurs d'université et dirigeants d'entreprises de presse affirment que les médias voient fondre leurs revenus publicitaires au profit des plateformes numériques (Google, Apple, Facebook, Amazon et Microsoft). La commission propose des mesures pour assurer la survie des médias, aux prises avec une crise financière sans précédent. Pour M. Legault, l'imposition d'une taxe aux géants américains demeure un scénario hautement hypothétique.
Septembre
C'est la rentrée et les élus reprennent l'étude du controversé projet de loi 5 permettant le déploiement de la maternelle 4 ans universelle. François Legault y tient; il a mis son siège en jeu sur cette question lors de la campagne électorale. Les trois partis d'opposition le prient plutôt de prendre un temps d'arrêt avant d'implanter les classes de maternelles 4 ans partout au Québec. Ils réclament en vain un plan détaillé ainsi qu'une analyse des coûts approfondie et transparente. Le projet de loi sera finalement adopté sans leur accord le 5 novembre.
Octobre
M. Legault laisse transparaître un certain étonnement au lendemain de la réélection des libéraux fédéraux de Justin Trudeau. En campagne électorale, il était sorti de la réserve habituelle des premiers ministres pour dénoncer le discours de M. Trudeau entourant la loi québécoise sur la laïcité. Il l'avait exhorté à ne jamais contester cette loi devant les tribunaux. Ce thème aura finalement servi à mousser la campagne du Bloc québécois, qui a pu renaître de ses cendres, en faisant élire 32 députés.
Novembre
Le ministre de l'Immigration, Simon Jolin-Barrette, plonge le gouvernement dans sa première crise. Sa réforme du Programme de l'expérience québécoise (PEQ), qui vise à réduire le nombre d'étudiants et d'employés pouvant être acceptés au Québec, en pleine pénurie de main-d'oeuvre, est très mal accueillie. Étudiants étrangers, organismes économiques, cégeps et universités se mobilisent et forcent le gouvernement à reculer, si bien que M. Jolin-Barrette se confond en excuses et promet de mieux consulter. Un sondage d'opinion suggère que la CAQ a perdu six points de pourcentage depuis le printemps.
Décembre
Le gouvernement caquiste termine cependant l'année en beauté en ravissant le château fort libéral de Jean-Talon lors d'une élection complémentaire. Joëlle Boutin, ancienne chef de cabinet d'Éric Caire, récolte 43 pour cent des votes pour devenir la 76e députée caquiste à l'Assemblée nationale. Tandis que François Legault jubile, le Parti libéral du Québec et Québec solidaire encaissent la défaite et pansent leurs plaies.


TEBBOUNE APPELLE À APPLIQUER « LE MODÈLE INDUSTRIEL MILITAIRE » AUX SECTEURS CIVILS





Le message sous-entendu, a mon humble avis, réside dans le mode de gestion plus que dans le modèle en tant que tel. Je crois que si les pouvoirs publics arrivaient à appliquer les mêmes principes de gestion en termes de rigueur et de responsabilité et autre comptabilité de chacun, la productivité sera amplement gagnante!


Les enfants nous donnent des leçons a chaque jour à propos du comment vivre ensemble…Essayons de ne pas corrompre leur âme!




La liste des scandales s'allonge pour Abdou Semmar











Bon dans le fond, c’est loin d’être un scoop. Ce n’est pas la première fois que des fuites sur des conversations téléphoniques l’incriminent comme étant un magouilleur. On a tous été choqués d’entendre ses conversations avec les indus hommes d’affaires dont lui-même n’a cessé de descendre en flammes à une certaine période, - pas si lointaine. Il est, désormais, évident qu’il vend son âme et son honneur au plus offrant. Il fait partie de cette nouvelle catégorie que personnellement j’appelle les mercenaires du soi-disant journalisme d’investigation. On a bien entendu cette fameuse conversation avec Tahkout qui qui lui demandait expressément et ouvertement de salir la réputation de l’un de ses concurrents directs.
Cet homme a perdu le moindre petit capital de sympathie qu’il avait aux yeux des Algériens.  Personnellement, je me suis toujours, d’ailleurs je l’ai publié il y a quelques mois, demandé comment il pouvait avoir tant de scoops avec des preuves a l’appui s'il n’était pas de connivences avec d’autres magouilleurs du sérail !
La question qui doit être posée est la suivant: Pourquoi cet homme qui apparemment possède un puits inépuisable de scoops et autres détails des affaires les plus scabreuses au sommet de l’état, un homme qui a accès a des documents officiels, le plus souvent utilises comme documents ou preuves a charge, n'a jamais été vulnérable, et soudainement il se retrouve en face aux même stratagèmes qu'il a use pour souiller des gens?  
La plus grosse question que les Algériens n'ont toujours pas pu y répondre reste sa prouesse pour quitter le pays quelques jours  a peine après sa relaxe de prison. Comment quelqu'un qui était sous contrôle judiciaire et qui sortait a peine de prison a pu garder son passeport, et quitter par la suite le pays sans être jamais inquiété? Est-ce-que c'est du au fait que certains de ses protecteurs, hommes forts d'hier se retrouvent aujourd'hui accules par la justice et jetés en prison comme de vulgaires malfrats? Tant de questions que le temps finira par y répondre!

samedi 21 décembre 2019


Synopsis


A l’instar de tous mes concitoyens de la diaspora, je ne puis rester insensible face à la situation actuelle dans mon pays natal depuis l’avènement du mouvement du 22 Février 2019, - communément connu comme « Hourak », et non pas « Hirak », linguistiquement parlant.
Tout en saluant cet extraordinaire soulèvement du peuple en général et de la jeunesse en particulier qui donna une leçon en matière de civisme et de maturité dans la gestion de cette prise de conscience, je voudrais revenir sur les étapes qui ont marqué ce mouvement d’un point de vue extérieur. Cet essai n’a aucune prétention de vouloir changer les choses, et encore moins contenir la vérité suprême, mais juste une réflexion ou un constat d’un simple citoyen.  
Connaissant la nature des caciques du système, je ne puis qu’être sceptique quant à la réaction de ces derniers eu égards aux demandes de cet extraordinaire mouvement que j’appelle le mouvement de l’éveil des consciences. Je fus sceptique dès le départ car hormis la dimension de ce mouvement et surtout sa nature pacifique, il a donné des signes de naïvetés juvéniles que les vielles branches du système ont rapidement utilisés avec tout le machiavélisme qu’on leur connait. L’une des failles de ce mouvement reste de ne pas avoir su ou pu dégager des représentants afin d’encadrer ce mouvement, mais surtout engager des négociations avec les tenants du pouvoir.
On a vu émerger des figures politiques de premier plan reflétant parfaitement la réalité de la composante de la population et de la réalité de la configuration politique  de nos jours : On des jeunes a l’image de Monsieur Tabbou, Monsieur Boumala, de Monsieur Belarbi, mais aussi des personnalités historiques tels les Bouragraa, ou encore des poids lourds de la politique qui ont démontré dans le passé leur intégrité en démissionnant de leur postes de responsabilités respectifs  sous l’ère Bouteflika.  Le mouvement a péché par orgueil au moment même ou les premières réunions et consultations ont eu lieu entre certaines personnalités politiques   durant lesquelles des divergences majeures des points de vue ont fait que tout consensus fut impossible à atteindre. Cette situation a fait que certaines personnalités ont préféré quitter les différentes rencontres et réunions au grand plaisir du système. Le système a joué sur les divergences des différentes personnalités qui ont le profil & une vision pour parler au nom et pour le compte de ce mouvement, et porter les aspirations de cette jeunesse aux détenteurs du pouvoir.  
Comme a son habitude, le système sut profiter de l’entêtement des uns et des autres, et sentant un danger imminent du poids de cette nouvelle génération de politiciens sur, à travers sa crédibilité, sur les masses, s’empressa de les mettre à l’ombre sous de faux prétextes pour taire leur voix, et par-dessus tout, pour leur barrer la route a toute éventuelle candidature aux élections présidentielle, - dont le système passa en force. Ce vide en matière d’encadrement du mouvement de contestation mena à un simulacre d’élections dont les figures ne sont autres que le résidu de l’ancien système, - dont tous ont, a une exception, ont joué le rôle de porteurs de cadre du président « déchu ».     
J’ai, a l’instar de mes concitoyens, suivi le lancement de la compagne électorale   avec intérêt et surtout curiosité, avec l’espoir de voir de nouvelles pratiques en matière d’éthique politique. Ce qui ressort de cette dernière, malgré les quelques nouveautés en termes de communication des prétendus programmes, le peuple Algériens fut déçu, à juste titre, par rapport   au perspectives et feuille de route présentée par les aspirants à la magistrature suprême. On a assisté à un prolongement des pratiques archaïques héritées de l’ancien système, et dont le peuple s’est soulevé avec l’espoir de les voir disparaître à jamais. La liste des candidats, retenus par la nouvelle instance dite indépendante chargée d’organiser et surveiller le déroulement de ces élections, se démarquèrent par une absence totale de vision, un populisme sans précèdent, et une langue de bois digne du socialisme dur et pur. On a aussi eu droit a des comédies de piètre  qualité entre les déclarations farfelues et scènes de pitreries entre les prières sur les trottoirs,  les pleurs devant les caméras, les séances de photos dans  les lieux, des attaques frontales avant même le début des hostilités, des dénonciations de fraudes des le deuxième jour de la compagne,   et par-dessus tout des rassemblements devant des salles de conférence vide, ou a défaut a moitié remplies par des écoliers et autres pauvres gens qu’on a appâtés avec quelques milliers de dinars et un repas.
Les candidats en lice n’ont pu convaincre les électeurs de leurs capacités et encore moins de leur profil respectif pour assumer cette lourde charge dans un contexte aussi délicat et sensible. Leur passif dans le système de Bouteflika, ou ils ont tous sans exception joué un rôle dans le maintien d’un président impotent ce qui revient à dire qu’ils furent partie prenante dans la violation de la constitution, ou leurs fonctions aux plus hautes fonctions à la tête de l’état leur a ôté toute forme de crédibilité vitale a tout président pour   pouvoir mener a bien son mandat. Tous sans exception se sont prononcés contre et de façon négative par rapport au mouvement du 22 Février, apostrophant les manifestants et les traitant de tous les noms.
On a eu droit aux traditionnels chapelets argumentés de populisme, langue de bois; Tous sans exception se sont distingués dans l’art d’insulter l’intelligence des Algériens.
La nouveauté suivant l’ère Bouteflika en matière d’élections fut sans conteste la création de l’instance indépendante chargée de l’organisation et de la surveillance de ces dernières. Bien que l’idée soit fort appréciable dans le sens ou l’administration se retrouve hors-jeu du processus, mais la hâte dans laquelle cet organe fut mis en place a fait ressortir des lacunes énormes entachant sa crédibilité.
On pu constater d’emblée que ladite instance manquait de ressources pour couvrir le territoire dans son ensemble ce qui a laissé le champ libre a certains dépassements décrié par la population. Puis vint la signature de la charte morale mise en place et dont les candidats ont tous signée et engagé à respecter, or dès le lancement de la compagne électorale, on a assisté a des dépassements en termes de dénigrement et autres attaques frontales de certains aspirants. On a pu remarquer que ladite instance a vécu un moment de flottement avant de se reprendre et remettre de l’ordre. Puis ce fut le scandale rapporté par la presse et certains candidats concernant le financement par un industriel dans la région d’Oran qui octroya des sommes assez considérables a deux candidats en même temps, sans que cette instance. Il y eut aussi l’utilisation des lieux de culte comme point de départ de la compagne électorale de tous les candidats ce qui contrevient avec la charte de l’instance et même avec la loi de la république.  
Maintenant que le vote est passé de façon libre et transparente selon les uns, au forceps selon les autres, on se retrouve   à la croisée des chemins au vu du marasme en général. On a vu que le mouvement de la population n’a pas fléchi avec la prise de fonction de manière officielle de M. Tebboune en tant que président de la république, et la démission du premier ministre, - une des revendications initiales du mouvement. Cette configuration semble un casse-tête chinois pour le nouveau président fraîchement élu car il doit en trouver une solution pour que les pouvoirs publics reprennent le droit sur la rue, pour reprendre le jargon des services concernées.
La rue maintient sa position par rapport aux élections en général, mais on commence a distinguer une brèche dans le bloc des millions de manifestants qui ont prit la rue depuis le mois de février; une partie pense dur comme fer que le nouveau locataire d’El Mouradia N’est autre que le coté civil des détenteurs du pouvoir réel, alors que l’autre partie semble croire que maintenant que le pays reprend le chemin de la légalité et de la légitimité constitutionnelle, on devrait faire bloc derrière le nouveau président pour commencer à  bâtir une nouvelle Algérie selon la feuille de route divulguée lors de la compagne électorale.
Prenant en compte la situation du pays a tous les niveaux, je pense qu’on doit se rendre a l’évidence que un cap a été franchi. Les plus réalistes vous diront que les revendications continues de la rue ne seront pas satisfaites. Pour éviter de s’enliser dans la situation actuelle, il serait judicieux de donner crédit au nouveau président et d’attendre pour voir.
Il serait sage ne pas faire lui faire un procès d’intention, et le juger sur les faits. Une chose est certaine, l’Algérie vient de passer a une nouvelle étape avec cette jeunesse avide de démocratie et de liberté. Si le nouveau président est sérieux conscient des enjeux et surtout de la nouvelle réalité, il va aller dans le sens de cette jeunesse. Donnons-lui une chance a défaut d’avoir le choix !








samedi 14 décembre 2019

عاجل ..تبون رئيس الجزائر الجديد - Algérie aujourd'hui. Tebboun nouveau P...


Analyse & perspectives




Maintenant que le fait accompli est sur la scène politique Algérienne, quelles sont les perspectives de ce nouveau chapitre ? Quelle sera la position du nouveau locataire d’El Mouradia avec un taux mitigé d’approbation de la population, - si l’on se fie aux résultats dont le pourcentage dépasse de peu les 50 % ?
J’ai suivi le discours traditionnel suivant l’annonce des résultats du scrutin. Le gagnant s’est engagé à entreprendre des chantiers fort ambitieux aux niveaux politique, économique, et social.  Il semble avoir apprit la leçon de ses prédécesseurs qui ont, successivement, occulté le problème majeur de ce pays, à savoir la révision complète et en profondeur de la constitution. Il est, de même, engagé à réduire les pouvoirs du président par rapport a ce que la constitution lui octroie comme force.
Pour ce qui est du volet économique, le nouveau président aura à faire face à une situation catastrophique qui risque d’accroitre sa position au vu de la difficulté de la légitimité, et autre taux d’approbation.  Les prévisions pour la nouvelle année fiscale semblent sombres, et 2021 sera encore difficile considérant les répercussions attendues de la politique économique et financière prônée par Bouteflika et mise en pratique par Ouyehia. L’implication des universitaires et experts du domaine est une nouveauté dans l’approche de la pratique de la politique dans ce pays. M. Tebboune semble donner un gage de confiance aux cadres et intellectuels du pays, mais aussi une façon de ne pas endosser la responsabilité tout seul.
Le message de la main tendue qu’il a lancé au mouvement du 22 Février, le Hirak, dont le dialogue est le point d’orgue doit être suivi de gestes de bonnes foie : Je crois que si le nouveau veuille se donner une crédibilité qu’il fors contrôle de toute partie occulte, et qu’il jouissent de toutes les prérogatives de président de la république que lui confère la constitution, il doit impérativement commencer par libérer les figures de proie du mouvement a savoir M.Tabbou, M. Bouragraa, M. Boumella, M. Samir Bellarbi, et toute autre personnalité qui sont emprisonnés sans motif légal avéré, et les inviter a une table de négociation.
Au vu des résultats annoncés, je retiens une chose assez troublante : Le score obtenu par M.Bengrina dont les résultats dits officiels le classe en deuxième position. Est-ce-que l’on est en phase d’assister à un retour du mouvement d’obédience religieuse hors le cadre partisan classique.
Pour conclure, comme il était prévu le système a pu mener a bon port son projet en ignorant la volonté populaire en mettant la majorité du pays devant le fait accompli. Maintenant, il faut absolument être vigilent pour que les choses ne débordent pas afin de maintenir l’unité nationale, et la sécurité de la nation. Attendons pour voir.